Ce qu’il y a d’exceptionnel avec le numérique, c’est que l’on peut réaliser très facilement toute sorte de chose. Quelques, contacts, un ordinateur avec un micro, un rendez-vous et hop… On enregistre…
J’ai lancé plusieurs podcasts mais il est difficile d’arriver à tenir le rythme. Aussi, mon premier podcast audio était réalisé avec des français : 6 heures de décalage horaire! Quand mon horaire à changé avec un emploi à temps plein, impossible de continuer. J’ai lancé un autre podcast avec des invités québécois cette fois-ci, plus facile à mettre en place. C’est un podcast vidéo mais je n’ai pas encore trouvé d’acolyte pour partager le projet alors il dort jusqu’à son prochain réveil! Quoi qu’il en soit, ils ont chacun un point en commun, le sujet : la musique. Mais avec les deux derniers que je vous présente plus bas, j’ai un peu débordé et c’est plutôt sympa!
Aussi appelé le financement participatif, ce moyen de lancer un projet en demandant l’aide financière de la communauté est assez long à démarrer au Québec. Malgré l’existence de plates-formes locales, certains demande de l’aide sur les plates-formes plus connues comme KickStarter aux USA ou Ulule en Europe. Mais alors les principaux acteurs de ce mouvement au Québec, qu’ont ils à nous apprendre?
Parmi nos différentes démarches, musiQCnumériQC souhaitait entendre la politique numérique en culture de tous les partis. Sujet absent des débats, nous avons contacté les partis peu de temps avant les élections. Seulement Sébastien Croteau, pour représenter le parti d’Option Nationale et Olivier Adam, pour représenter le Parti vert du Québec se sont joint numériquement à nous pour répondre à nos questions. Malheureusement, Mario Asselin de la CAQ a eu des problèmes techniques et n’a pu rejoindre la communication, Mylène Jaccoud et Christian Dubois, de Québec Solidaire, ont finalement annulé ainsi que Maka Kotto du PQ, car il est vrai, notre idée a laissé peu de temps de préparation…
Voici le débat!
Financement participatif, Politique culturelle